Le destin de la race nordique

Charles L. Carroll, Jr.

La semaine dernière, je m'étais arrêté à une station-service pour faire le plein. Pendant que j'attendais mon tour, je remarquai une jeune femme rousse qui faisait aussi le plein. Sa peau d'albâtre, parsemée de taches de rousseur, ses yeux verts et son nez retroussé étaient de bonnes indications que sa couleur de cheveux était naturelle. Cela faisait d'elle un spécimen rare. A chaque génération, les blondes et les rousses naturelles deviennent moins nombreuses. Tous les Blancs ne sont pas blonds ou roux -- je ne le suis pas, par exemple -- mais ceux qui le sont représentent quelque chose de spécial pour notre race et notre héritage, et figurent parmi les gens les plus enviés de la terre. Pour appuyer ma remarque, pensez simplement à toutes les teintures pour cheveux achetées et utilisées par les femmes pour se rendre plus attractives. Combien de brunes teignent-elles leurs cheveux en blond ou en roux? Il y a quelque chose d'instinctif dans cette attirance pour les couleurs claires. Les instincts de base qui ont aidé à former notre espèce opèrent à un niveau subconscient. Nous ne pouvons pas être pleinement conscients de cette attirance particulière, mais elle existe.

Toutes ces réflexions me rappellent un livre que j'ai lu, Ascent of the Mind [l'Essor de l'Esprit] par William H. Calvin. C'est une interprétation savante des effets des époques glaciaires sur le développement intellectuel de notre race. Le cerveau humain a vu son volume multiplié par quatre dans les 2,5 derniers millions d'années. Ce rythme de développement rapide est presque inconnu dans la nature. Le Dr Calvin avance un excellent argument selon lequel cette augmentation du volume du crâne est due principalement aux époques glaciaires. Les époques glaciaires eurent lieu selon des cycles. Chaque année, nous faisons l'expérience du printemps, de l'été, de l'automne et de l'hiver. Les époques glaciaires reviennent tous les 100 000 ans avec de plus petites glaciations tous les 10 000 ans. Quand les deux cycles coïncidaient, les glaciers couvraient la plus grande partie du continent européen, le berceau de notre race. La vie était extrêmement difficile pour les premiers hommes européens pendant ces périodes. Seuls les meilleurs -- et les plus intelligents -- survivaient à ces rudes époques. Les faibles et les déficients mentaux périssaient dans l'immensité de glace et de neige. La capacité de prévoir à l'avance demandait une remise en question pendant l'été, pour pouvoir assurer la survie pendant les longs et froids hivers. Ceux qui pouvaient travailler ensemble pour le bien commun augmentaient aussi leurs propres chances de survie. Cela, avec le temps, favorisa un ordre social aussi instinctif qu'enseigné. Une autre chose qui arriva fut que notre apparence changea. Pendant que nos cerveaux devenaient plus grands, nos mâchoires s'abaissèrent et nos fronts devinrent presque verticaux au lieu d'être inclinés. Notre peau devint presque blanche, et nos cheveux et nos yeux devinrent plus clairs. Dans la nature, la blancheur est bien sûr la marque particulière du Nord, celle des créatures qui se sont développées dans la rudesse de la glace et de la neige. Nous portons cette marque du Nord. Nous associons instinctivement cette apparence avec la noblesse, le caractère et l'intelligence -- et nos instincts disent vrai.

Entre deux périodes glaciaires, la vie était douce, les glaciers reculaient, la nourriture était abondante, et l'espèce humaine s'épanouissait. Ces époques d'expansion duraient des centaines de générations. L'homme européen grandit à la fois en nombre et en diversité. De nouvelles variétés de Caucasiens (c'est l'expression utilisée aux Etats-Unis pour désigner les Blancs, NDT) apparurent. Pendant l'ère glaciaire suivante un grand processus de sélection commença. Les nouvelles variétés indignes de survivre s'éteignirent, pendant que des variétés améliorées se développaient. Ce cycle d'événements se répétait tous les 10 000 ans pendant les 2,5 derniers millions d'années. Nous, les descendants de ces Européens, sommes le résultat de ce processus de sélection naturelle. La jeune rouquine de la station service était réellement une belle oeuvre de la Nature, ou si vous voulez, de Dieu.

Pendant ce temps, la jeune femme avait fini de faire le plein. Elle ouvrit la portière de sa voiture et souleva son bébé de son siège. C'est seulement à ce moment que je pus voir son enfant, alors qu'elle le portait pour aller payer l'essence. Après mes réflexions précédentes, je n'étais pas préparé à ce que je vis. Des émotions me submergèrent : choc, colère, dégoût, et tristesse! Le bébé qu'elle portait avait la peau brune et des cheveux noirs et crépus.

Ce n'était pas la première fois que je voyais une jeune femme blanche avec un bébé noir. Malheureusement, ces jours-ci, c'est devenu une chose ordinaire. Beaucoup trop ordinaire! Ce qui était cette fois-ci particulièrement choquant pour moi était que quelques secondes auparavant, j'étais en train de penser que cette belle jeune femme représentait une des plus belles réussites de la Nature.

Nous savons maintenant que le continent africain ne souffrit pas comme l'Europe pendant les périodes glaciaires. Par conséquent, les peuples indigènes d'Afrique ne connurent pas le même développement. La survie en Afrique dépendait d'un ensemble de critères. Il n'était pas nécessaire de prévoir une planification à long terme pour survivre, et donc les qualités associées ne se développèrent jamais beaucoup. Il était bénéfique de tirer parti de toute opportunité inattendue, d'où la tendance aux actes impulsifs. Le continent africain avait toujours connu des prédateurs agiles, d'où les tendances à la rapidité et à l'agilité. Les maladies, beaucoup plus répandues sous les tropiques torrides que dans le Nord glacé, rendaient la vie courte, d'où le taux élevé de reproduction. La race noire possède toujours ces tendances aujourd'hui. Le gène de l'anémie des cellules, une autre tendance développée en Afrique, est réellement un avantage pour la survie là où la malaria est répandue. L'auteur de Ascent of the Mind, cependant, ne mentionna jamais ce qui aurait dû être une conclusion évidente. Le fait que les Noirs se sont développés dans un environnement radicalement différent et qu'ils forment par conséquent une variété humaine radicalement différente, est une conclusion politiquement incorrecte. Est-ce que le fait d'accepter cette vérité signifie que nous devons haïr les Noirs? Non, mais ne pas accepter cette vérité et agir comme si les races étaient égales nous conduira à la mort et à l'extinction de notre race.

Les différences psychologiques entre les Noirs et les Blancs sont aussi prononcées que les différences de couleur de peau. Intellectuellement, la différence est facilement mesurable. Le Blanc moyen a un QI [Quotient Intellectuel] de 100, alors que le Noir moyen a un QI de 85. (voir Additif). Un QI plus élevé n'était pas nécessaire pour survivre en Afrique. Encore plus important, le pourcentage d'individus très intelligents, ces gens qui sont nos leaders naturels, nos penseurs et nos inventeurs, ceux dont dépend l'avenir de notre société, est plusieurs centaines de fois plus grand parmi les Blancs que parmi les Noirs. Le mélange racial peut facilement anéantir la classe des individus qui créent et qui conservent la civilisation, en seulement quelques générations. Cela est déjà arrivé dans le passé.

Que dire de la jeune femme rousse? Ce qu'elle a fait était-il si mauvais que je le pensais? La télévision, le cinéma et même notre système d'éducation -- payé par nos impôts -- encouragent le mélange racial. En tant que professeur de collège, je suis pleinement conscient de la pression sociale exercée sur les jeunes Blancs. Les mâles noirs ne font que suivre leurs instincts animaux naturels lorsqu'ils essayent de s'accoupler avec le plus de femelles possibles. Les jeunes filles blanches, en particulier les blondes et les rousses, sont leurs proies les plus convoitées. Lorsqu'un mâle noir flatte une femelle blanche, et qu'elle n'a pas été suffisamment endoctrinée par l'idéologie multiracialiste, elle repoussera ses avances sexuelles. La plupart des mâles noirs ont appris que si toutes les tentatives échouent, il faut demander: «Quel est le problème, êtes-vous raciste?». Ils ont compris que les jeunes filles blanches éduquées veulent être à la mode. Ce n'est pas à la mode d'être raciste. Leur télévision, leurs professeurs, leurs journaux, leurs magazines, leur musique et peut-être même leurs pasteurs leur enseignent qu'être raciste est tout simplement la pire chose possible. C'est probablement ce qui était arrivé à la jeune femme rousse.

Le bébé à la peau noire, au nez épaté, aux cheveux crépus, représente un retour en arrière pour la race européenne, un retour en arrière de centaines de milliers d'années, un retour en arrière vers un gouffre sans fond, si ce n'est l'obscurité éternelle de la mort. C'est la vie de la jeune femme rousse, c'est son corps, c'est son bébé -- mais c'est aussi ma race, et elle participe à sa destruction. Elle trahit tous les ancêtres qui ont lutté pour la survie dans des conditions hostiles pour que leurs enfants et leurs petits-enfants et leurs arrières petits-enfants puissent progresser et prospérer à travers les âges. Au lieu d'une nouvelle progression, elle a choisi une impasse de l'évolution. Je crains qu'elle et les autres femelles blanches écervelées comme elles ne deviennent responsables de l'extinction de notre race, et de la fin -- la fin littérale de tous les temps -- de tout ce que nous tenons pour cher et sacré dans ce monde.

Empêcher que cela se produise est tout le but de cet article. C'est pour cela que nous sommes ici chaque semaine, pour que tous ceux d'entre vous qui ne se préoccupent pas de ce problème sachent que nous le faisons. C'est pour cela que tous ceux qui sont avec nous à la National Vanguard Books et la National Alliance font ce qu'ils peuvent, selon leurs moyens, pour que nous puissions dire la vérité à notre peuple.

Additif : les différences de QI entre Blancs et Noirs 

Il faut savoir que ces chiffres de mesure du QI, obtenus par des études très sérieuses, menées par des scientifiques de premier plan, ne présentent que les chiffres minimum, absolument prouvés, l'hypothèse basse -- les scientifiques en question ne pouvant pas se permettre, pour des raisons évidentes, de se voir reprocher la moindre exagération à propos des mesures de QI classées par races, un sujet éminemment «sensible». Or ces chiffres «officiels», obtenus par des études statistiques extrêmement sérieuses, répétons-le, ne tiennent pas compte de deux faits importants:

1) La plupart des Noirs américains, sur lesquels ont été faites les études statistiques, sont déjà mélangés aux Blancs, sont déjà porteurs d'une partie du génotype blanc, dans des proportions variables, dont on a pu estimer le chiffre moyen à 25% -- ce qui veut dire que les «Noirs» américains ont déjà un quart de «sang» blanc (c'est à dire de génotype blanc); beaucoup de Blancs qui ont des Noirs dans leur ascendance (des unions mixtes ayant eu lieu depuis l'époque de l'esclavage) ne le disent pas (ou ne le savent pas) et cela n'apparaît pas dans les études statistiques; de même beaucoup de Noirs américains, qui ont du «sang» (= génotype) blanc, sont classés comme Noirs dans les études.

2) Le «vernis» de civilisation qu'on peut voir dans la classe dirigeante de certains Etats africains, ou de certains Noirs en tant qu'individus -- ce vernis est généralement superficiel, et il est d'origine entièrement «blanche». Dans les Etats africains en question, l'Etat, l'Armée, l'administration, l'économie, les médias, les Universités, etc, sont d'origine «blanche», ont été importés par les Blancs. Toutes ces structures, toutes ces réalisations ont été créées par les Blancs, pas par les Noirs. Et dans nombre de ces Etats, il y a d'ailleurs une présence blanche, un encadrement blanc -- souvent indirect, discret et numériquement faible, mais dont l'influence est réelle. Et lorsque la présence blanche diminue ou disparaît, comme on l'a vu dans les dernières années, ces Etats retournent très vite à l'anarchie. Le même phénomène se remarque au niveau des individus, des Noirs occidentalisés: ils s'habillent comme des occidentaux, mettent une cravate rose, portent des bijoux en or, parlent un langage châtié, comme des ministres -- mais là aussi ce n'est généralement qu'un vernis. En fait, ils «singent» les Blancs, ils ont appris un langage, des attitudes -- mais cela ne peut tromper que ceux qui veulent l'être. Sous ce vernis il n'y a généralement pas grand-chose, pas d'intelligence réelle, pas de capacités créatrices. Car il y a une différence entre imiter et créer.

Pour obtenir les vrais chiffres des différences de QI moyen entre les Blancs et les Noirs, il faudrait pouvoir comparer le QI moyen des Noirs non métissés avec les Blancs, des Noirs d'Afrique. Il est donc légitime de penser que le chiffre officiel de la différence de QI -- 15 points -- entre les Blancs et les Noirs, est un chiffre minimum, une affirmation vérifiable, prudente, qui ne reflète pas l'ampleur de la véritable différence entre les deux races. En réalité, la véritable différence de QI moyen est certainement beaucoup plus élevée, très probablement supérieure à 20 points, et peut-être même à 25 points.

Et de fait, certaines études menées en Afrique noire (par exemple celle de Owen en 1989) ont montré que les Noirs africains avaient un QI moyen d'environ 75. Il est probable qu'une comparaison systématique entre le QI moyen des Noirs africains, non métissés, et de celui des Blancs non métissés (en particulier les Blancs d'origine nordique), montrerait une différence écrasante, certainement voisine de 25 points. C'est la vérité que les médias «politiquement corrects» du Système veulent cacher aux Européens -- ou minimiser.

Par exemple, dans les téléfilms américains, on nous montre fréquemment des «flics» de base qui sont des Blancs, mais le commissaire, le grand chef, est un Noir ... Le public n'est pas dupe. Un nombre très faible -- en fait, quasi-nul -- de Noirs occupent des postes demandant une capacité intellectuelle importante. Et cela, malgré toutes les lois de «discrimination positive» et tous les avantages et les aides dont ils bénéficient, dans les universités, dans les entreprises -- tant aux Etats-Unis qu'en Afrique du Sud. Et en France on n'a jamais vu de Noirs dans les grandes écoles -- ENA, Normale, Polytechnique, etc. (les Asiatiques, eux, réussissent remarquablement bien, très rapidement, et même lorsqu'ils n'ont aucune assistance gouvernementale). On n'a jamais vu de Noirs champions d'échecs -- et on n'en verra probablement jamais. En réalité, l'immense majorité des «Noirs» qui occupent des positions dans l'élite intellectuelle est en fait composée de métis. (le général Colin Powell, par exemple, est-il un «Noir»?). En réalité, leur intelligence vient essentiellement de leurs gènes «blancs» -- elle vient de la race blanche.

NefertetiIl faut ajouter que certaines réussites individuelles ne donnent pas la mesure de la capacité globale d'une race. Il est évident, si l'on regarde l'histoire de l'humanité sans oeillères, que les races n'ont pas la même capacité à créer de la civilisation. Et on sait bien que s'il a existé de nombreuses civilisations non-blanches (chinoise, khmer, hindoue, maya, asztèque, inca, etc), il n'a jamais existé de civilisation noire africaine. La civilisation égyptienne, parfois citée par les idéologues antiracistes comme un exemple de civilisation «africaine», a très probablement été initialisée par des éléments indo-européens blancs, dans l'aristocratie et les dynasties des pharaons -- la masse du peuple étant de type nilotique et partiellement négroïde (il est même possible que des éléments indo-européens aient aussi joué un rôle dans l'émergence de la civilisation chinoise). Les momies égyptiennes les plus anciennes sont nettement de type «caucasien», avec la peau claire et un nez saillant de type européen. Lorsque la souche indo-européenne blanche s'épuisa, alors la civilisation égyptienne entra en décadence. Mais là encore, pour des raisons idéologiques, le Système dissimule ou minimise ces faits au maximum, insinuant même parfois que certains rois et reines de l'Antiquité auraient pu être des Noirs (Nefertiti, Hannibal, Cléopâtre ...), alors que toutes les informations qui nous sont parvenues (descriptions, iconographie) prouvent le contraire. [Image: Nefertiti.]

La vraie raison de ces différences, et que le Système se refuse à admettre -- comme l'Eglise à une autre époque refusait d'admettre que la Terre est ronde -- la vraie raison n'est pas un manque «d'intégration», la vraie raison est génétique, raciale. Il faut avoir le courage d'en tirer les conclusions, même si elles sont contraires à la «morale démocratique» décadente: le métissage des Blancs avec des Noirs, du point de vue des Noirs, est bénéfique. Du point de vue des Blancs (et surtout des Blancs nordiques), tant intellectuellement qu'esthétiquement, ce n'est rien d'autre qu'une régression, un suicide racial.

--Irmin Vinson


 

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